Le Meux

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Le Meux
Le Meux
L'église Saint-Martin du Meux.
Blason de Le Meux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Région de Compiègne et de la Basse Automne
Maire
Mandat
Évelyne Le Chapellier
2020-2026
Code postal 60880
Code commune 60402
Démographie
Gentilé Ulmeusiens, Ulmeusiennes
Population
municipale
2 320 hab. (2021 en augmentation de 5,45 % par rapport à 2015)
Densité 297 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 22′ 06″ nord, 2° 44′ 43″ est
Altitude Min. 30 m
Max. 122 m
Superficie 7,8 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Lacroix-Saint-Ouen
(banlieue)
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Compiègne-2
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Le Meux
Liens
Site web http://www.lemeux.fr

Le Meux est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le département de l'Oise, dans la moyenne vallée de l'Oise et près de la rive droite de cette rivière, à une distance orthodromique de 7,7 km au sud-ouest du chef-lieu d'arrondissement de Compiègne[1]. La distance avec la capitale, au sud-ouest, est de 63 km[2]. Le Meux est une commune résidentielle et industrielle à caractère rural, en dehors de toute agglomération[3], ce qui ne l'empêche évidemment pas d'adhérer à l'agglomération de la région de Compiègne. Le Meux comporte quatre hameaux : la Croisette, au carrefour des RD 13 et RD 98 à mi-chemin entre la gare et le bourg ; le Bac près de l'actuel pont de l'Oise face à Lacroix-Saint-Ouen ; la Bruyère au sud-ouest du centre ; et Caulmont, à 1,3 km au nord-est, au pied du versant sud de la butte dite le Bocquet.

Paysage près du hameau de Caumont.

Le Meux possède un relief assez varié. Au niveau de l'Oise, qui représente la limite orientale de la commune dans son secteur sud, se trouve le point le plus bas à 30 m d'altitude. En remontant vers le nord, suit la plaine alluviale de l'Oise traversée par la voie rapide de la RD 200 et occupée par la zone industrielle. Puis, au-delà de la voie ferrée de Creil à Aulnoye-Aymeries et de la RD 13, orientées dans un sens nord-est - sud-ouest, se situe le village dont la mairie est bâtie à 51 m d'altitude. Le village est encadré au loin par des collines boisées à l'ouest, au nord et à l'est, dont Le Bocquet culminant à 121 m d'altitude, point culminant du Meux. La plaine agricole entre ces collines est légèrement ondulée. Aucun cours d'eau n'y est présent.

Vue d'ensemble, avec le vieux village et le nouveau quartier résidentiel.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 662 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Margny-lès-Compiègne à 9 km à vol d'oiseau[7], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,5 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Le Meux est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lacroix-Saint-Ouen, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[14] et 7 573 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (64,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (21,1 %), zones urbanisées (12 %), forêts (11,4 %), zones agricoles hétérogènes (5,7 %), eaux continentales[Note 3] (2,1 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Concernant les voies de communication, le bourg est desservi directement par les deux routes départementales déjà mentionnées. La RD 13 est une route de desserte locale de la rive droite de l'Oise et passe par les différentes localités qui s'y alignent. La RD 98 qui lui est perpendiculaire représente un petit axe nord-sud, reliant la RN 31 Rouen - Reims au nord de la commune voisine de Jonquières à la RD 200 ainsi qu'à Lacroix-Saint-Ouen. C'est la RD 200 Compiègne - Creil qui est la route la plus importante présente sur la commune. À 6,5 km au sud-ouest de son interconnexion avec la RD 98, se trouve l'échangeur no 9 de l'autoroute A1, sur le territoire communal de Longueil-Sainte-Marie.

Le Meux dispose également d'une gare, appelée Meux - Lacroix-Saint-Ouen, à 1,0 km du centre du bourg. Elle est desservie par les trains omnibus TER Hauts-de-France de la ligne C14 Compiègne - Paris. Du lundi au vendredi, s'y arrêtent huit trains pour Paris et neuf trains pour Compiègne, la fréquence étant moindre le week-end. Le temps de parcours est de 57 minutes pour Paris et de 8 minutes pour Compiègne[20].

La commune est desservie, en 2023, par la ligne 661 du réseau interurbain de l'Oise[21]. La commune est également desservie par la ligne 107 du réseau TIC ainsi que par les lignes 14 et 17 du service de transport à la demande AlloTIC.

Toponymie[modifier | modifier le code]

La commune s'appelait Ulmeus, l'ormeau, en 1156[22]. Le nom a évolué régulièrement (Dou Meus, De Omeus, Omeux) pour se stabiliser en Le Meux au début du XIXe siècle.

Sens du toponyme : sans doute déformation du latin ulmeus, dérivé de ulmus « orme ».

Histoire[modifier | modifier le code]

Centre-ville du Meux.
Mairie du Meux.
Gare du Meux - La Croix-Saint-Ouen.
Salle des fêtes.

Le site est très ancien : des traces d'occupation humaine au Paléolithique et au Néolithique ont été retrouvées dans les environs immédiats. La position géographique du village l'a souvent placé au cœur des campagnes militaires. En 51 avant Jésus-Christ, les légions romaines conduites par César passent l'Oise à Compiègne et traversent Le Meux, Jonquières, Canly avant d'attaquer les Bellovaques à Clermont. Il s'agit de l'ancienne cité des Bellovaci, conquise par les Romains.

L'histoire de la commune est liée aux seigneurs du Fayel. Le premier d'entre eux fut un chevalier envoyé par les seigneurs de Pierrefonds pour défendre les terres à la demande des prêtres de Saint-Wandrille qui avaient reçu les terres du roi Childebert III en octobre 704. S'ensuivit une querelle entre les moines, soutenus par les papes (Innocent II en 1142, Eugène III en 1145, Clément IV en 1267 et Grégoire X en 1273), et le seigneur du Fayel. En 1177, le roi Louis VII confirma la possession de la chapelle aux moines et le seigneur du Fayel conserva les terres. La même mésaventure semble être arrivée aux prémontés de l'abbaye Saint-Yved-de-Braine, qui possédaient les terres du Meux et de Chevrières. En 1157, ces terres appartiennent au seigneur du Fayel.

Il y avait un château fort démantelé en 1429 sur ordre de Charles Vll.

La famille de Rouville récupéra les terres du Meux en 1536 à la suite de successions entre la famille du Fayel et de Ferrières, puis de Ferrières et de Rouville. Cette famille de la noblesse normande conserva les terres autour du château actuel jusqu'en 1722 (donation à Jacques François Tardieu de Maleissye). C'est sans doute Jean de Rouville, ou son fils Hercules-Louis, qui fit construire l'actuel château dans la première moitié du XVIIe siècle.

Le village connut une nouvelle vitalité avec la création d'une zone industrielle au milieu des années 1980. Elle s'est accompagnée de la création de lotissements et d'une modernisation importante des équipements (groupe scolaire en 1988…).

Lors d'épisodes orageux la nuit du 26 au , la commune est touchée par d'importantes chutes de grêlons. 26 personnes sont mises au chômage technique à la suite des dégâts sur la zone industrielle, les toitures de certaines habitations sont endommagées[23].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Roch MEURINNE 05/02/1751 † 20/01/1801 a été maire de Le Meux en 1800 (archives familiales) et non son fils Louis Joseph.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1876 1881 Charles Junius Bourcier    
1881 1884 Louis Paulin    
1884 1894 Charles Junius Bourcier    
1894 1896 Jean-Baptiste Fontaine    
1896 1908 Charles Junius Bourcier    
1908 1911 Armand Desmaret    
1911 1912 François Bourcier    
1912 1919 Géry Relot    
1919 1925 Joseph Prevost    
1925 1944 Gustave Denuncq    
1944 1965 Raymond Meunier    
1965 1965 Odilon Dufau    
1965 1970 Gustave Lardier    
1970 1977 Anicet Schambert    
mars 1977 décembre 2011[24]
(démission)
Robert Ternacle UDF-PRV
puis UMP
Retraité
Conseiller général du canton de Compiègne-Sud-Ouest (1994 → 2001)
Ancien vice-président de l'ARC
décembre 2011 En cours
(au 13 septembre 2014)
Évelyne Le Chapellier   Retraitée de la fonction publique
Réélue pour le mandat 2014-2020[25]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].

En 2021, la commune comptait 2 320 habitants[Note 4], en augmentation de 5,45 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9521 0681 1381 0601 030970940956931
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
915868786767739710712688703
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
724674651694690670636629662
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
6567237689981 4711 7082 0271 9682 254
2021 - - - - - - - -
2 320--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 135 hommes pour 1 150 femmes, soit un taux de 50,33 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,1 
90 ou +
0,6 
3,6 
75-89 ans
4,7 
14,5 
60-74 ans
12,7 
23,7 
45-59 ans
22,1 
20,7 
30-44 ans
21,8 
16,8 
15-29 ans
16,0 
20,6 
0-14 ans
22,0 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Le Meux

Les armes de Le Meux se blasonnent ainsi :

écartelé: au premier d'azur à deux poissons adossés d'argent accompagnés de quatre billettes d'or 1,2,1; au second de gueules à la fasce d'argent; au troisieme d'or au lion contourné d'azur, au quatrième mi coupé mi parti d'hermine à la bordure d'azur chargée de 10 fers à cheval d'or.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le château du Meux.
Clocher de l'église.

Monument historique[modifier | modifier le code]

  • Le château du Meux (inscrit monument historique par arrêté du [32]) : il s'agit d'un ancien relais de chasse construit en 1637, modifié aux XVIIIe et XIXe siècles.

Autres éléments du patrimoine[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Martin, rue du Général-Leclerc : c'est une église cruciforme au clocher latéral et au chœur polygonal, datant essentiellement du début du XVIIe siècle (Louis Graves indique l'année 1612). La nef non voûtée a été rebâtie vers la fin du XIXe siècle avec les fonds mis à dispositions par des donateurs. L'architecture Renaissance en vogue au moment de la construction ne se manifeste pour autant pas sur les façades de l'église Saint-Martin. L'édifice est assez élevé et éclairé par de grandes verrières. Les murs sont en pierre de taille très régulière. La nef porte sur trois travées et possède des bas-côtés, dont chaque travée est dotée de son propre pignon, donnant respectivement vers le nord et vers le sud. Le clocher s'élève au-dessus du croisillon sud du transept. Il est de plan carré et flanqué d'une tourelle d'escalier ronde, à l'est. Ses contreforts aux angles se retraient trois fois, et sont couronnés à chaque niveau par un petit clocheton. L'étage supérieur succède à un niveau intermédiaire aveugle, et est percé de deux vastes baies géminées abat-son par face. Leurs arcades sont des ogives cintrées. Le clocher est coiffé par un simple toit à quatre versants. Quant au chœur, il est éclairé par sept hautes baies ogivales, de même forme que les baies des façades latérales. Malgré les deux reconstructions successives, l'église conserve quelques éléments plus anciens, dont le portail occidental avec son archivolte plein cintre décorée d'un ornement à étoiles simples, s'appuyant sur des colonnettes garnies de chapiteaux aux feuillages. Ce portail renvoie à l'architecture romane. À l'intérieur, le bénitier est creusé dans un chapiteau du XIIIe siècle, et les fonts baptismaux datent de la fin du XIIIe, ou du début du XIVe siècle. Les nervures des voûtes retombent sur des consoles ornées d'armoiries, et au-dessus du chœur, des armoiries ornent les intersections des nervures des voûtes. Les voûtes des bras du transept présentent des pendentifs au-dessous des clés de voûte[33],[34],[35].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Philippe Bonnet-Laborderie et François Callais, Entre rivière et forêts, la communauté compiégnoise : Le Meux, Beauvais, G.E.M.O.B., coll. « Villes d'art de l'Oise et de la Picardie », , 192 p. (ISSN 1255-0078), p. 75-79

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Orthodromie entre Le Meux et Compiègne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
  2. « Orthodromie entre Le Meux et Paris »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation (lion1906) (consulté le ).
  3. « Région Picardie - Liste des agglomérations de la région Picardie (liste déroulante) », sur Insee (consulté le ).
  4. « Communes limitrophes du Meux » sur Géoportail..
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Le Meux et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Lacroix-Saint-Ouen », sur insee.fr (consulté le ).
  15. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duCompiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. [PDF] « Fiche horaires Paris <> Saint-Quentin valable du 6 au 12 novembre 2023 », sur TER Hauts-de-France (consulté le ).
  21. « Transports en commun au Meux », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  22. Émile Lambert, Collection de la Société de linguistique régionale de la Picardie historique, vol. 1, Musée de Picardie, 1963, p. 74.
  23. « Les orages ont fait des dégâts en Picardie », Le Courrier Picard, .
  24. « Un conseil municipal le jour de Noël ! », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. « Meux », Cartes de France (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune du Meux (60402) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  32. Notice no PA00114747, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. Émile Coët, « Armancourt », Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier,‎ , p. 113-114 (lire en ligne, consulté le ).
  34. Louis Graves, Précis statistique sur le canton d'Estrées-Saint-Denis, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 110 p. (lire en ligne), p. 48-49.
  35. Eugène Müller, Courses archéologiques autour de Compiègne, Compiègne, Progrès de l’Oise, , 84 p. (lire en ligne [PDF]), p. 229.